Samedi matin, j'ai des frissons... 6H00. On est matinal chez les Inuits. Un petit cachet pour laver la tête des brumes engendrées par les spiritueux de la veille et hop le p'tit déj tonique qui va devoir tenir jusqu'à une heure avancée de l'après midi. Mais ça, je n'en sais encore rien...
Tout le monde se lève avec la tête plus ou moins dans le c#l. Phrase choc qui passe à la postérité : - Un petit cachet, mon Léon ? - EFFERALGAN ? C'est mon préféré...
Tout le monde se prépare donc avec l'objectif de mettre les voiles à 9H00 :-)
Naturellement, tout se passerait normallement si quelqu'un (on ne saura jamais qui...) n'avait eu l'excellente idée de monter le porte bagage sur la Chacal d'Isa. Mécaniquer un matin de départ, j'le crois po ! Pis comme le sissi bar est de récup, faut jouer de la lime, ajuster, brèfle, voilà comment on se met à la bourre d'une demi heure...
9H30 on lève le camp. La route se passe disons, en rodage ;-) A plusieurs reprises, la petite troupe va se disperser et se reconstituer au gré des ronds points. Au bout d'un moment, le gros de la troupe nous distance et met gaaaazzz. Je vais le rejoindre un peu plus loin en Belgique, après Chimay où je vais faire mon premier plein d'Euro Super (ben du SP95 quoye). Je transmet la consigne de continuer sans attendre Léon et Isa qui doivent rencontrer des Hussards (ils ont de ces fréquentations, ces 2 là) :-)
La petite troupe grossit en se rapprochant du point d'arrivée. Ol et Gé nous ont rejoint (je ne les connais pas encore, mais des nanas sur une V11 noire, il doit pas y en avoir des tonnes). Nous arrivons finallement à Godinne sur le coup de 14 H. L'accueil est chaleureux. Découverte de Bruno, Jihem, retrouvailles de John. Sympa tout ça ! L'organisation est réglée comme du papier à musique.
Retrouvailles des autres listeux aussi. Le Scal que j'ai lâchement abandonné à sa solitude, les parisiens, têtes familières depuis les Guzzibouffe et autres Coupes Moto Légendes, découverte de nouvelles têtes comme Philippe le Boulanger.
C'est pas tout ça, mais depuis ce matin, on a rien dans le ventre. Bruno, toujours prévoyant, a eu l'excellente idée de nous mettre de coté un peu du Chili de la veille. Et quel Chili !!! C'est avec des frites une fois que nous dégustons ce plat qui donne soif et c'est donc à la Blanche que nous allons calmer nos gosiers. Quelques assiettes plus tard, il est temps de partir faire une petite ballade...
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